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Samurai 2 : Duel At Ichijoji Temple

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les avis de Cinemasie

3 critiques: 2.83/5

vos avis

12 critiques: 3.5/5

visiteurnote
seizan 3.25
Samehada 3.5
punkfloyd 4
Omerieux 3.5
koalaurent 3.75
k-chan 3.25
JoHell 3.5
Jérémy 3.75
hkyume 3.5
Bastian Meiresonne 3
Anel-kun 4


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Du grand chambara

La trilogie "Musashi" est sans doute, avec les "Zatoichi" de KATSU Shintaro, la plus représentative des films qui ont abouti au genre Chambara. J'ai donc particulièrement aimé "Musashi", que ce soit pour la performance exemplaire de MIFUNE Toshiro, pour la superbe réalisation de INAGAKI Hiroshi, ou encore ce scénario légendaire digne des plus grandes aventures que l'on ait pu nous raconter ! J'ai trouvé que la trilogie gagnait petit à petit en intensité : > "Musashi 1 : la légende de Musashi" - 3,5 / 5 > "Musashi 2 : Duel à Ichijoji" - 3,75 / 5 > "Musashi 3 : La Voie de la Lumière" - 4 / 5 Je me suis franchement régalé, mais tout comme les "Zatoichi", je ne classe pas ces films comme des chef-d'oeuvres. Toutefois, je vous les conseille vivement ! :)

23 mai 2005
par koalaurent


Trop fort

Suite des aventures du célèbre guerrier mythique. 3 ans ont passé depuis les dernières aventures; 3 ans qui auront suffi à Miyamoto à s'instruire pour devenir un samouraï digne de ce nom. Et aux scénaristes d'opter une nouvelle fois pour un facile raccourci scénaristique, faire l'impasse sur le passionnant cheminement du guerrier à trouver sa voie et à pouvoir prétendre devenir le héros tel qu'il est encore célébré de nos jours. Au lieu de cela, ils préfèrent une nouvelle fois se focaliser sur ses rapports avec la gente féminine en le faisant retrouver des personnages féminins du premier épisode: comme s'ils pensaient que pour asseoir le statut d'une masculinité affirmée il fallait montrer des femmes se pâmant devant le héros. Une nouvelle fois, l'exercice semble vain, l'image de la femme étant à la limite de la misogynie et n'apportant pas grand chose à l'intrigue en elle-même - sauf à la fin. Miyamoto ne peut encore prétendre à son accomplissement personnel, tant qu'il n'aura réussi à dompter ses propres démons intérieurs. Le personnage d'Otsu comptera beaucoup dans cette acquisition de la vérité et la scène finale déchirante laisse entrevoir els véritables intentions de leurs auteurs et ce qui aurait pu donner la superbe à la trilogie, si le traitement dans son entier avait été à cette seule image. Malheureusement, il n'en est rien et aux responsables de réitérer les erreurs du métrage précédant : une intrigue se traînant, une mise en scène académique au service d'une superproduction somptueuse sans âme et un manque de relief du personnage principal - un comble ! Pour finir, ils s'écartent définitivement de la légende initiale en réduisant au plus toute la dimension mythique du personnage et son véritable cheminement (ses duels dantesques, son incorporation dans l'armée, etc) pour en faire un personnage bien moins complexe et plus proche du rônin vagabond, comme il en existera par dizaines dans des séries produites à profusion dans les décennies à venir. Une trilogie décevante.

30 septembre 2005
par Bastian Meiresonne


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